Je tiens tout d'abord à saluer la réalisation d'un engagement pris par le Président de la République, et surtout une réforme initiée une nouvelle fois par la gauche, dans le prolongement de celles engagées de 1985 et 2000. Comme par le passé, c'est donc un gouvernement de gauche qui a le courage de faire avancer ce débat. Celui-ci n'a certes pas été facile, mais ne rien faire aurait été vécu par nos concitoyens comme un recul de la majorité sur ce sujet.