Sous présidence française, en 2011, la Commission des affaires européennes nous avait déjà confié, en compagnie de notre ancien collègue Robert Lecou, la tâche de suivre les travaux du G20.
Le travail que nous avons repris cette année nous conduit à penser que le G20, à défaut de déclarations fracassantes à destination de l'opinion publique, produit pas à pas des résultats tangibles démontrant son utilité dans la matrice des relations internationales contemporaines.