Les Français ont voté pour un homme, mais aussi pour un projet, dans lequel figurait clairement – et honnêtement – la création de 60 000 postes sur cinq ans dans l'éducation nationale. Je ne doute pas que nos collègues de l'opposition soient profondément démocrates. Ils auront donc à coeur, tout en formulant de légitimes remarques, de laisser la majorité appliquer le mandat qu'elle a reçu du peuple.