Je suis naturellement du même avis que la rapporteure, mais je voudrais répondre à deux objections.
Tout d'abord, je ne voudrais pas que l'on déforme mes propos. Quand j'ai parlé d'embryons détruits, c'était bien de ceux qui étaient surnuméraires et qui ne faisaient plus l'objet d'un projet parental, d'un projet de procréation – je redonne le cadre pour M. Poisson.