Entre les cellules souches embryonnaires et les cellules adultes induites, nous n'avons pas d'axe privilégié. Ce n'est d'ailleurs pas le rôle de notre ministère que de faire un tel choix scientifique. Nous sommes, en revanche, guidés par le pragmatisme, la sûreté et le bien-être des patients, ce qui nous pousse à vouloir mener ces recherches en parallèle.