L'humanité de l'embryon ne fait pas de doute. Ce sont sa personnalité et l'une des conséquences de cette personnalité – sa protection par le droit – qui posent problème. Voilà ce qui est problématique, et non pas son humanité.
Nous considérons pour notre part – telle est du moins ma conception – que l'humanité n'est pas séparable de la personnalité. Ce n'est pas autre chose, et il est vrai que ce n'est pas un petit débat.
Pour revenir à l'amendement n° 214 , qui porte sur le même sujet que le précédent, cette humanité ne peut être le fait du regard posé par un tiers sur l'embryon.