Oui et d'ailleurs, j'aimerais, madame la présidente de la commission, que vous vous exprimiez sur ce point puisque l'on ne vous a pas entendue de tout le débat. Je souhaiterais que vous nous disiez que vous combattrez toutes les recherches entreprises en vue de créer un utérus artificiel. On sait qu'elles ont lieu dans certains pays.
Nous avons besoin d'un message clair. Si vous vous taisez, le soupçon naîtra. Le fait que vous n'ayez pas répondu sur un certain nombre de points montre bien que nos inquiétudes sont tout à fait légitimes.