C'est le bon sens même ! Chacun reconnaît, le plus souvent en privé, qu'il y a aujourd'hui trop d'élus territoriaux, ce qui deviendra encore plus criant avec la montée en puissance des intercommunalités.
II faut, ensuite, aborder de front la question des compétences obligatoires des régions. Depuis 1982, personne n'a osé traiter cette question – nous pas davantage et, je le reconnais bien volontiers, ce fut une erreur. C'est parce que leurs compétences obligatoires ne sont pas assez identifiées que les élus régionaux, de tous bords politiques, se sont lancés dans une dispersion coûteuse et souvent inefficace de leurs interventions…