S'il y avait une seule raison d'adopter cette question préalable, je m'en remettrais à la sagesse populaire qui dit tout. Le maire d'une petite commune de mon département, que j'avais lesté de vos trois textes, madame la ministre, après les avoir examinés, m'a dit tout simplement : « Cela n'est ni fait, ni à faire ».