Nous avons fait valoir en première lecture, monsieur Paul, que ces obligations, qui conduisent à la divulgation d'informations stratégiques, risquent de porter atteinte à la compétitivité des banques françaises. Pourtant, d'autres éléments y ont encore été ajoutés, notamment par la gauche sénatoriale. Il s'agit entre autres du bénéfice ou des pertes avant impôt et du montant total des impôts dont les entités sont redevables.
Je tiens à préciser la position du groupe UMP sur cet article 4 bis. Je l'ai déjà fait en deuxième lecture, mais je crois en la valeur pédagogique de la répétition.