Je crois que vous l'avez dit il y a quarante-huit heures, madame la ministre : on ne peut pas avoir une structure, à un échelon trop élevé, qui commence à se mêler de la gestion des offices de tourisme de chaque commune, surtout que nos territoires sont très divers. Il y a notamment ces territoires qui comportent des stations de sports d'hiver, dont beaucoup fonctionnent avec le soutien du conseil régional ou général.
Vous avez voulu conserver une clause de compétence générale. Soyons vigilants. Je crois que la vocation de la métropole est vraiment, dans le domaine économique, de se tourner vers l'international.
Par l'amendement n° 415 , je vous invite à réfléchir à cela. Notre vocation est de porter la dimension internationale du territoire, de la métropole, par exemple dans un salon sur un autre continent. Ce n'est en revanche pas d'aller se mêler de la manière dont chaque commune a décidé de gérer l'accueil de sa clientèle touristique.