Nous ne pouvons nous contenter d'un avis conjoint conforme, d'un « copier-coller ». Il nous faudra revoir cette question lors de l'examen de la loi de santé publique car le dispositif tel qu'il est actuellement fait peser une lourde responsabilité sur le psychiatre qui a émis le second avis. Nous sommes d'accord sur l'analyse, mais nous devons réfléchir pour apporter des solutions en veillant à ne pas créer une inflation des expertises.