Alain Juppé, lorsqu'il était ministre des affaires étrangères, disait que Bachar Al Assad « allait tomber ». Vous-même, monsieur le ministre, quelques mois après votre prise de fonctions, répétiez la même chose. N'est-on pas passé d'une stratégie consistant à se demander ce que l'on ferait une fois Bachar Al Assad renversé à une autre consistant à se demander comment faire pour s'accommoder de nouveau de lui ?