Sur le dosage PSA (antigène prostatique spécifique), nous estimons que nous devrions être plus fermes sur certaines recommandations. Pour être schématique, il faudrait savoir dire maintenant qu'il y a des choses qu'il ne faut pas faire. Or, si, par exemple, sur les dépistages, nous savons dire « il faut faire cela », nous ne savons pas encore dire « sur certaines populations, il n'est pas raisonnable de faire cela ». Contrairement à d'autres pays, nous n'avons pas encore de recommandations de ce type-là.