Général Idriss, vous avez présenté le cadre de la mouvance jihadiste combattante en expliquant avec une extrême prudence que certains groupes sont plus respectables que d'autres – et encore. Vous avez aussi décrit le commandement décentralisé de l'ASL. Mais qui dit « décentralisation » dit que le contrôle de l'état-major n'est pas absolu. Combien de groupes dépendant de l'ASL coopèrent sur le terrain avec la mouvance jihadiste ? S'agit-il d'une coopération opérationnelle ou simplement matérielle ?