Je partage le constat formulé par MM. Jacques Myard et Pierre Lellouche. Vos positions modérées et votre combat méritent le respect. D'un autre côté, vous avez critiqué une « communauté internationale » qui n'existe pas, comme on le voit constamment au Conseil de sécurité, et comme le montre l'attitude la Russie, qui s'explique en partie par la gestion plus que contestable de la crise libyenne par les Occidentaux.
La situation en Syrie s'est aggravée : vous êtes pris en étau entre l'armée de Bachar al-Assad et des éléments jihadistes et salafistes extrémistes probablement plus nombreux que vous voulez bien le dire. Comment venir à bout de ces deux forces qui vont à l'encontre de votre projet, auquel nous souhaitons plein succès ?