C'est, du reste, tellement vrai que, grâce à l'opportunité qui nous est offerte par le déficit structurel, nous aurons par la suite à négocier avec nos partenaires et la Commission la possibilité de mener de grandes politiques d'investissements structurants qui feront, demain, la compétitivité de l'Union européenne et de notre pays.
Ainsi les raisons qui vous ont conduit à défendre cette motion de rejet préalable, soit ne relèvent pas du traité, soit sont infondées en droit, soit relèvent d'une interprétation erronée des notions qui rend votre raisonnement inopérant. C'est pourquoi j'invite la représentation nationale à ne pas adopter votre motion de rejet préalable. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)