Nous avions alors dénoncé la supercherie : comme le savait François Hollande lui-même, il était évident que nos partenaires n'accepteraient jamais de renégocier un traité si longuement discuté et signé par les Vingt-Cinq. François Hollande ne pouvait qu'échouer. Et parce qu'il a échoué, il invite maintenant avec insistance la représentation nationale à voter le même traité, mot pour mot. Ce qui était néfaste hier est devenu indispensable aujourd'hui !
Et qu'on ne nous redise pas que le pacte pour la croissance constitue une renégociation ! En l'occurrence, il ne s'agit que d'un codicille de 120 milliards d'euros…