Je comprends parfaitement l’idée, mais la politique de la jeunesse, comme vient de le dire le rapporteur, est une politique transversale et non une compétence. On verra par ailleurs à l’article suivant que la mission du chef de file consiste à préparer et à négocier les conventions d’exercice concerté des compétences. Augmenter le nombre des domaines relevant d’un chef de file revient à augmenter le nombre de conventions supplémentaires à élaborer, ce qui se heurtera à la limite de l’impossibilité pratique. En outre, je vois mal l’État se désengager de la politique de la jeunesse !