Marylise Lebranchu, ministre de la réforme de l’état, de la décentralisation et de la fonction publique :
Excusez-moi madame la présidente, mais je suis prise d’un doute. Il m’a semblé que l’argument développé par M. Myard concernait l’amendement no 391 , or j’en étais restée à l’amendement no 328 .