Il y a eu un long débat sur la présence de l’État. Nous en revenons à ce que nous disions tout à l’heure sur les délégations, et la façon de procéder. Je crois beaucoup à la décentralisation, mais je crois aussi à l’État fort.
L’État doit être présent lorsqu’il s’agit de discuter d’une délégation de compétences. Je ne vois pas comment il pourrait en être autrement. J’insiste donc pour que cet alinéa soit conservé.