Madame la présidente, en vertu de l’article 58, alinéa 1, je souhaite évoquer les propos singuliers et inacceptables qu’a tenus notre collègue, M. Devedjian.
L’altercation verbale qu’il a eue avec nos collègues de Marseille n’aurait en soi guère posé de problèmes s’il n’avait laissé entendre par ses propos que Marseille était un territoire inacceptable, improbable, insupportable. Ses propos ont été compris par tous comme une insulte aux élus marseillais et à toute la population marseillaise !