Rappelons également, monsieur le rapporteur, que votre temps non plus n'est pas décompté. Dès lors, nous refuser désormais toute explication sur la position de la commission des lois au prétexte que nous sommes en temps programmé, me paraît relever d'un argument un peu spécieux. Hier, nous avons consacré tout le temps qu'il fallait sur un de vos amendements, surgi à la dernière minute, qui bouleversait les équilibres politiques et démocratiques ; aujourd'hui, vous nous expliquez que, puisque nous sommes en temps programmé, vous ne parlez plus. Pour un rapporteur, l'argument me paraît un peu court !