Je voudrais dire, à mon tour, ma stupéfaction de voir refuser ces amendements.
Nous vous proposions pourtant deux formules. La première consistait à consulter des citoyens électeurs des communes directement concernées ; vous l'avez refusée. La seconde consiste à organiser un référendum, qui me paraît d'ailleurs légitime pour toutes les métropoles et pas seulement pour celle de la région parisienne.