Le problème essentiel tient à la durée de traitement des demandes d'asile. Au bout de deux ou trois ans, les familles sont installées, les enfants sont scolarisés et l'on se retrouve dans des situations inextricables. Les sociétés de HLM ne peuvent pas héberger ces personnes, de sorte que les nuitées d'hôtel, qui coûtent deux fois plus cher, continuent d'augmenter. En outre, elles n'ont pas le droit de travailler ce qui rend leur hébergement encore plus difficile. Il faut donc revoir l'ensemble de cette politique.