Voilà, madame la ministre, ce que je souhaitais vous dire ce soir. C’est à la fois un message d’alerte fort au Gouvernement sur des mesures que nous considérons comme très dangereuses pour l’avenir du logement en France si elles venaient à être mises en oeuvre ; et un message de fermeté à l’égard de ces marchands de sommeil dont l’action doit être entravée.
Vous l’avez compris : je vous invite à profiter des discussions qui se profileront tout au long du titre II, et je prédis qu’il régnera alors un certain consensus entre gauche et droite, très temporaire mais tout de même réel. Pour le reste du texte, nous serons dans une opposition d’autant plus ferme que je crois vraiment que vous entraînez notre pays sur une bien mauvaise pente.