Votre partenariat avec General Electric avait permis la fabrication des turboréacteurs CFM56 : avez-vous d'autres perspectives de ce type, notamment au sein de l'OTAN ? Cela permettrait peut-être de surmonter les difficultés que vous avez rappelées au sujet de l'Adour ou de développer de nouveaux produits, et consoliderait le retour de notre pays au sein du commandement intégré de l'Alliance.