Défavorable. Les capitaux sont aujourd'hui largement taxés, et il faut éviter de mettre en place des mesures aussi abruptes – faisant passer le taux de 4,5 à 12 % –, voire s'abstenir, pour l'heure, de toute mesure nouvelle, sous peine de voir les prélèvements atteindre un niveau confiscatoire. Les capitaux relèvent des politiques fiscales ; quant aux retraites, elles doivent conserver un système contributif à base de cotisations. Si l'on veut que la retraite soit l'affaire de chacun, il ne faut pas ajouter en permanence des recettes qui n'ont plus rien à voir avec le travail.