Intervention de Charles de Courson

Réunion du 23 juillet 2013 à 17h00
Commission d'enquête relative aux éventuels dysfonctionnements dans l'action du gouvernement et des services de l'État, entre le 4 décembre 2012 et le 2 avril 2013, dans la gestion d'une affaire qui a conduit à la démission d'un membre du gouvernement

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCharles de Courson, président :

Avant de passer la parole à M. Fasquelle, je voudrais rappeler la réponse que M. Fouks avait faite à une question que je lui avais posée.

Question : « D'après lui [c'est-à-dire vous, monsieur Cahuzac], ce sont ses avocats en Suisse qui l'ont appelé pour lui indiquer, non pas qu'ils avaient lu la lettre, mais que les autorités helvétiques leur avaient indiqué que la réponse était négative. Ces mêmes avocats vous appellent-ils directement ? »

Réponse : « Non, c'est Jérôme Cahuzac qui le fait. » – M. Fouks affirme donc que vous l'avez appelé.

Question : « Vous dit-il que c'est une bonne nouvelle ? »

Réponse : « Oui. Je réponds : “Chouette, il n'y a plus qu'à laisser faire les choses !” »

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