Cette centenaire a simplement déclaré au journal Le Progrès : « Je vote à toutes les élections, je ne risque pas de voter maintenant pour ce gouvernement. » Et elle a bien raison !
Vous aurez beau dire, à l’occasion de votre réponse, ou de celle de l’un de vos trente-sept ministres, que ce n’est pas votre faute : plus personne ne vous croit. Et ce, d’autant plus que cette centenaire va contribuer à payer un privilège inédit sous la Ve République : le recrutement d’une attachée de communication pour votre épouse, monsieur le Premier ministre.