Chacun a pu constater que vous venez de valider la réforme de 2010. C’est une bonne nouvelle, car vous auriez pu l’invalider ! Nous avons appris quelque chose d’essentiel ce soir dans cet hémicycle : alors qu’en 2010 vous étiez descendus dans la rue avec des banderoles pour protester contre cette réforme tant décriée, aujourd’hui vous êtes présents dans l’hémicycle, et les banderoles sont dehors !
La réforme de 2010 est donc définitivement validée. Cela étant, la crise est passée par là, et il manquera à l’horizon 2020 un peu d’argent ; nous ne ferons qu’un tiers du chemin, comme vous le savez, monsieur Issindou.