Mes chers collègues, cet article, qui figure en bonne place dans ce texte, limite à 43 ans l’allongement de la vie au travail dans le cadre d’une application progressive qui devrait, à l’horizon 2035, trouver son plein effet. L’impact de cette mesure est évidemment difficile à apprécier pour chacun parce qu’il dépend très largement de la nature et du contenu des carrières de chaque Français.
Il est clair, néanmoins, et il faut le dire notamment aux jeunes générations qui sont concernées par cette réforme, que pour de nombreux Français, la vie réelle au travail n’atteindra pas 43 ans. Il faut l’expliquer.