Il est regrettable que l'on ne puisse taxer la mauvaise foi : cela réglerait les problèmes d'endettement de notre pays ! Depuis un bon quart d'heure, l'ancienne majorité critique ce qu'elle a elle-même instauré l'an dernier. J'aimerais, monsieur le président, que vous jouiez votre rôle : le président doit présider et ne pas prendre longuement la parole sur chaque amendement. Les débats que vos propos suscitent ne permettront assurément pas d'accélérer les choses.