Et vous, vous étiez rapporteur, ce qui est beaucoup plus important. Nous avons travaillé ensemble, avec d’autres parlementaires, sur les risques psychosociaux, et nous avons bien vu qu’on ne peut pas se satisfaire d’une logique qui consisterait à laisser faire et à attendre la fin de la vie professionnelle et le départ en retraite pour apporter des réponses.