La situation est claire aujourd’hui : d’abord les facteurs d’exposition, puis les seuils d’exposition, avant une application générale. Je ne comprends donc pas à quel moment le médecin du travail peut intervenir dans ce processus, sauf à le dénaturer. Le risque serait que chaque médecin du travail l’interprète à sa manière : l’on n’aurait alors pas la même interprétation d’un endroit à l’autre, d’une entreprise à l’autre, dénaturant ainsi le système que nous souhaitons voir adopter.