Nous sommes tous favorables à l'idée de voir nos concitoyens contribuer, dans des limites strictes, au financement de la démocratie. Cette exigence, et la crainte que certains contribuables ne se tournent vers d'autres formes de défiscalisation, me feraient plutôt pencher en faveur d'un déplafonnement. Mais il est nécessaire de retenir la proposition des auteurs de l'amendement afin d'éviter les dérives évoquées à l'instant par Régis Juanico.