Ces dernières années, l'État a vendu des participations qu'il détenait dans des sociétés d'armement ; cette politique, pourvoyeuse de recettes, se poursuivra-t-elle ?
Dans les collectivités locales – voire dans les services de l'État –, les gestionnaires liquident en fin d'année la totalité des crédits disponibles afin d'obtenir le même financement l'année suivante. Ne pourrait-on pas inciter à moins dépenser et à intéresser ceux qui y parviennent ?