Je soutiens la position du rapporteur général. Nous sommes tous conscients du problème que pose la recherche d'un équilibre entre les considérations budgétaires et les impératifs de compétitivité. M. Lefebvre a du reste bien expliqué qu'il n'est guère possible de voter un amendement qui aurait une incidence sur des dépenses déjà exposées en 2013.
Cet amendement me semble donc relever de la seconde partie de la loi de finances mais, puisqu'il n'est pas retiré, je le mets aux voix.