Vous êtes tout à fait maîtres – c’est bien normal dans cet hémicycle – de vos attaques et de vos interpellations ; laissez-moi donc être maître de mes réponses sans devoir subir des invectives que je ne vous adresse pas. Je souhaite en effet que ce débat budgétaire soit l’occasion pour nous tous d’aller au fond des choses dans le respect mutuel.