Tout d’abord, M. Mariton évoque des déficits sur plusieurs branches de la protection sociale et des déficits de l’État et nous explique la manière dont il faudrait les combler. Il nous fait d’emblée un procès en matraquage fiscal : permettez-moi de vous dire amicalement, monsieur Mariton, que nous n’aurions pas eu besoin de prendre des mesures sur le quotient familial si vous n’avez pas laissé la branche famille en déficit de 2,5 milliards d’euros !