C’est aussi ce que nous faisons lorsque nous décidons d’assortir les mesures que nous prenons sur le quotient familial de mesures d’économies à hauteur de 760 millions d’euros pour contribuer au comblement du déficit de la branche famille. Et c’est aussi ce que nous faisons pour que, après la destruction de nombreux services publics de la petite enfance et la remise en cause de la scolarisation à l’âge de deux ans – qui font partie intégrante d’une politique familiale –, nous puissions offrir des solutions de garde en libérant 270 000 places dans les services publics de la petite enfance. C’est ce que nous faisons en adoptant des politiques nouvelles…