C'est aux syndicats qu'il faudrait poser la question. En 2005 et 2006, M. Wamen, que j'encourageais à renouer le dialogue – quitte à le rompre si la direction ne tenait pas ses promesses –, m'opposait systématiquement une fin de non-recevoir en affirmant que la direction avait déjà pris la décision de fermer le site.