J'avais des contacts, non pas tant avec le directeur de l'usine, qui n'avait pas la main, mais avec les dirigeants du groupe pour la France et l'Europe, ainsi qu'avec le chargé de communication, M. Loriot, qui me tenait informé de l'état d'esprit des parties. Le message que nous avons adressé à M. Gibara me semble avoir été entendu ; mais s'il y avait davantage de souplesse sur la forme, la direction n'était disposée à aucune concession sur le fond.