Madame Poletti, cet effort de gestion se limite à 3 000 euros par département. En outre, les UDAF sont également financées par les conseils généraux dans le cadre de conventions particulières. Ces associations vivent de façon adaptée à leurs besoins.
Il y a beaucoup d'autres associations qui souffrent depuis plusieurs années de réductions de crédits, comme les associations de jeunesse et d'éducation populaire ou les associations sportives, qui ont vu disparaître toute aide en faveur des petits clubs. Dans ces conditions, l'effort de gestion demandé – en une année où les communes verront leurs dotations amputées d'1,5 milliard d'euros – ne saurait être présenté comme scandaleux.