Nous avons adopté, dans la loi bancaire, un article qui est sous-tendu par l'idée qu'on ne peut pas donner la situation de l'état économique d'un espace donné sans tenir compte de la présence de certains produits qui, en trop grande quantité, peuvent déstabiliser complètement l'économie dite réelle. Avec le président Gilles Carrez et le rapporteur général, nous avions beaucoup insisté en séance sur ce point qui nous paraît extrêmement important.