Dans ces 10 milliards d'économies, il y a aussi 2 milliards sur les dépenses d'intervention. Puis 2,2 milliards d'économies dans la défense nationale. Sans compromettre les programmes d'investissement, qui tous sont respectés. Sans compromettre les capacités d'accueil de nos soldats qui rentrent d'Afghanistan, que la nation se doit de traiter comme il convient. Sans compromettre nos capacités d'action militaire qui, terrorisme aidant, sont hélas absolument indispensables.
Il y a aussi 1,2 milliard d'économies sur les investissements – probablement les dépenses les plus difficiles à supprimer. Je voudrais à ce propos remercier mes collègues chargés de la justice, de la culture ou du logement qui ont accepté de sacrifier des investissements. Car ce programme de 10 milliards d'économies sur les dépenses, nous devions le réaliser.