Comprenez, monsieur le ministre, vous qui avez été président de la commission des finances, que des députés, ceux de l'opposition en tout état de cause mais peut-être aussi ceux de la majorité, s'ils choisissent de ne pas être seulement des suiveurs, souhaitent y voir clair.
Deuxième élément, monsieur le ministre : l'affaire des pigeons. Elle est intéressante parce que le Gouvernement pensait avoir une ligne claire, puis, à peine quelques tweets et quelques bruits agités sur la toile, il a décidé de changer sa mesure. Cela pourrait être honorable mais c'est seulement perturbant, parce que nous aurions besoin de connaître aujourd'hui l'amendement du Gouvernement pour savoir ce que vous comptez réellement faire s'agissant de cette taxe sur les plus-values.