Monsieur Myard, les catastrophes que vous annoncez toujours – et qui se produisent rarement – sont des incantations qui m'évoquent une autre phrase de Chateaubriand : « Levez-vous vite, orages désirés ! ».
Monsieur l'ambassadeur, en deux ans, la crise que nous avons traversée a été l'occasion de bien des progrès à l'échelle européenne. Si nous nous projetons dans deux ans, quelle bonne gouvernance européenne peut-on attendre ?
Pour ce qui concerne l'Europe politique, la proposition de la chancelière Merkel d'élire le président de la Commission européenne au suffrage universel a-t-elle suscité une réponse de la part des Vingt-Sept ?
Enfin, quelles actions concrètes ayant une incidence sur la vie quotidienne vous paraissent-elles déterminantes pour rapprocher l'Europe de nos concitoyens ?