et que les discours de fermeté du ministre de l’intérieur, qui a d’ailleurs été le seul, à gauche, à voter le texte sur la burqa en 2010, ne parviennent pas à contredire.
Je parle également de votre dogmatisme, qui crée un fossé entre le travail de la police et celui de la justice et ne bénéficie qu’à ceux qui veulent piétiner la République. Dois-je rappeler que, le mois dernier, un manifestant a été condamné à de la prison ferme, alors que l’étrangleur de policier, le mari de la femme contrôlée à Trappes, est aujourd’hui libre ?