Quelques mots pour rappeler que les mots ont un sens : il ne s’agit pas d’une « garantie des loyers », mais d’une « garantie universelle des loyers ». J’insiste sur le mot « universelle » en reprenant ce que disait notre collègue Borgel : si la perfection législative était de ce monde dès la première lecture, il serait totalement idiot qu’il y ait une confrontation et que nous nous réunissions plusieurs fois. Ceux qui attendent la perfection nient l’intérêt même du débat parlementaire. Il faut à cet égard faire preuve, les uns et les autres, d’humilité et c’est souvent en cheminant qu’on atteint sinon la perfection, en tout cas la solution la meilleure ou la moins mauvais.